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Programación en general => Vb.net => Mensaje iniciado por: saci56523 en Mayo 19, 2013, 08:24:27 pm
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: elle était morte à l’amour et sa fille n’y était pas encore née. Celle-ci ne connaissait au monde que sa mère, et pour madame Houlot l’horizon s’arrêtait à son enfant. Cette séparation était donc doublement cruelle. Il semblait à chacune d’elles que leur ame se fendait en deux en quittant l’amie fidèle qui avait su rendre la misère supportable. Chez les femmes, l’amour maternel et l’amour filial sont bien plus puissants que chez les hommes. Il y a de ces caresses na?ves qui ont quelque chose des caresses de l’amant, caresses pures et chastes, mais néanmoins ardentes et passionnées. Les femmes ont seules le secret des étreintes nerveuses et des baisers sans fin. Quant à moi, rien ne m’a jamais semblé plus ravissant que cet échange de tendresse, que cette expansion familière de la fille à la mère et de la mère à la fille. Un père a toujours quelque chose d’imposant ; sa voix est rude, il a de grosses moustaches ou d’épais favoris, sa physionomie inspire plut?t la crainte que la confiance. La mère,http://www.louboutinpascherfrancecl.info (http://www.louboutinpascherfrancecl.info), au contraire, n’a que des sourires gracieux : ses joues sont douces et appellent à chaque instant le baiser ; ses mains savent caresser sans meurtrir, et sa voix a des sons harmonieux qui font vibrer les c?urs de ses enfants. – L’homme, toujours occupé au dehors, ne les voit qu’aux heures des repas ou le dimanche,Hermes (http://www.hermessacfr.info), quand il daigne consacrer le jour du repos à sa famille ; la femme, elle, est toujours là ; c’est l’ange du foyer. Quand l’enfant crie, le père jure, la mère embrasse. Et puis ces soirées charmantes passées en tête-à-tête au coin du feu,Sac Louis Vuitton (http://www.saclouisvuittonpascherboutiquefrance.com), alors que la maman endort sur ses genoux,Louboutin Chaussures (http://www.louboutinpascherfrancecl.info), avant de le mettre au lit, le chérubin qu’elle a déshabillé devant la cheminée. Qui ne se rappelle, avec des larmes aux yeux, ces premiers jours de sa première enfance, où l’?il au guet, l’oreille tendue, cachant de temps en temps sa tête dans le sein maternel,Louis Vuitton Boutique (http://www.saclouisvuittonpascherboutiquefrance.com), on écoutait les histoires fantastiques que les mères savent seules inventer. Vous rappelez-vous la patience, le courage qu’elles montraient pendant vos petites maladies. Vous toussez, vite un lait de poule ! – As-tu les pieds chauds ? et elle se br?le presque la main pour communiquer, à vos petits pieds, la chaleur qu’elle vient d’absorber. Pendant ce temps l’homme est au café, au cercle, au théatre,Chaussures Christian Louboutin (http://www.louboutinpascherfrancecl.info), et quand il rentre et qu’il veut embrasser son enfant, celui-ci le repousse et murmure tout endormi : ? Laisse-moi donc, – ta barbe pique trop fort ! ?
Jusqu’au dernier moment, madame Houlot avait douté de leur séparation. Même lorsque sa fille eut signé chez Baratte, elle ne se rendait pas encore un compte exacte de la situation. Elle se sentait sous l’influence d’une surexcitation causée par l’excès de la misère où elles se trouvaient plongées, mais elle se disait tout bas : Ce n’est pas possible,Christian Louboutin Boutique (http://www.louboutinpascherfrancecl.info), je rêve ; c’est un affreux cauchemar,Hermes Sac (http://www.hermessacfr.info), et je ne vais pas tardera me réveiller. Hélas ! maintenant il n’y avait plus moyen de douter. C’était bien son modeste bagage qu’elle entendait au-dessus de sa tête, le fiacre était là, et c’était bien elle-même qui partait.
La voiture s’arrêta devant la gare,http://www.lvsacpa.info (http://www.lvsacpa.info), on était arrivé. Les deux malles furent portées aux bagages. Quand madame Houlot les vit placées sur la brouette et dispara?tre sous la vo?te, elle ne put retenir ses larmes. C’était fini ! Il fallait se séparer ! Au moment de prendre le billet, elles furent surprises de trouver le guichet fermé ; elles regardèrent alors la grosse horloge qui assiste froidement à toutes les péripéties de ce drame intime,Christian Louboutin Chaussures (http://www.louboutinpascherfrancecl.info), souvent si douloureux, qu’on appelle un départ. Oh bonheur inespéré Related articles:
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