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Chaussures Christian Louboutin--Monsieur Séglin, écoutez. Le Seigneur m'est témoin que je voudrais vous obliger, mais je ne peux pas faire une somme aussi considérable seul... Je serai forcé d'emprunter moi-même; pour avoir l'argent aussi rapidement, on va abuser de la situation et ce que vous m'offrez ne sera pas suffisant.
--Eh bien,
Louis Vuitton, comptez les commissions,
Hermes Pas Cher, les risques à courir...
--Vous pensez bien que je n'ai pas cette somme!...
--Mais c'est épouvantable,
http://www.louisvuittonsacpascherm.com!
--Quels risques,
Hermes? puisque vous avez le double de ce que je vous demande en bijoux...
--Mais, monsieur Séglin..., vous ne comprenez pas. Vous me vendez ces bijoux au prix de trois cent quarante mille francs... et je m'engage à vous les vendre pour pareille somme si vous les venez reprendre avant un mois.
papier et or étaient son affaire... Il faisait sonner et toucher l'or,
Louis Vuitton Soldes, et il mettait ses lunettes pour bien voir une signature... Mais, en cette affaire, il n'avait pas besoin d'être appréciateur, il connaissait l'origine des bijoux.
--Eh mon Dieu! monsieur Séglin, n'en parlons plus... Je vous assure que c'est en tremblant que je fais l'affaire... Je n'y tiens pas du tout... Voyez un autre... Nous ne nous fâcherons pas pour ça...
--Enfin, vous n'espérez pas que je vais vous vendre ces bijoux?...
De plus il se disait: Maintenant la maison Séglin est sérieuse. Des gens qui avaient été s'informer chez le notaire avaient appris que la jeune femme apportait plus d'un million espèces... La situation de Séglin à cette heure était toute naturelle, sa gêne venait de la lenteur du versement en raison de l'éloignement de la famille. Mais ces versements étaient certains... Il ne courrait donc aucun risque en prêtant... Il s'agissait, l'affaire étant sûre, de la rendre bonne.
--Bien... j'accepte ça... Mais que parlez-vous de quarante mille francs... pour un prêt de huit jours,
Christian Louboutin Soldes, dix jours?
--Eh bien, demanda Séglin, il faut, Samuel,
Louis Vuitton Sac, en finir promptement, car j'ai besoin de cet argent avant une heure...
--Comment les vendre?...
--C'est-à-dire que, pour faire des affaires régulières... Vous savez, je ne doute pas de vous, monsieur Séglin... Dieu m'en garde!... il faut que la chose soit régulière... On se fâche aujourd'hui ou demain... et puis on est traité d'usurier...
--Mais je vous offre vingt-cinq mille francs...
--Comptez vous-même, monsieur Séglin... frais de commission... déplacement et intérêt.
--Samuel,
Christian Louboutin Pas Cher, dit-il tout haut, vous n'êtes pas raisonnable... Mais je n'ai pas le choix, faites les papiers... je vais signer...
--Voilà comme on compte toujours... On se dit: l'argent, pour en avoir dans ces conditions-là, vaut dix à douze pour cent; eh bien, on se dit: ce n'est que pour un mois... Mais c'est comme si cela était pour l'année; mon argent déplacé, qui m'assure que je trouverai un placement égal à celui que j'avais? Qui m'assure qu'il ne va pas dormir?...
Et Fernand s'étant placé devant son bureau, le père Samuel lui dicta l'acte de vente, l'engagement de se libérer et le reçu; il lui donna en échange la promesse de remettre, moyennant trois cent quarante mille francs, les bijoux!...
--Nous
--Oui, mais il faudra que vous me les vendiez...
--C'est de la folie,
http://www.hersac.info... je ne puis pas pour un prêt de dix jours payer cette somme...
--De votre main, monsieur Séglin, je vais vous dicter.
--Canaille, grognait Fernand entre ses dents en voyant le sourire du vieux requin qui sentait bien qu'il tenait sa proie...
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