lettres, des apostilles écrites de sa main et à lui représentées, niant enfin l’existence de l’armoire de fer, a soulevé une indignation à peine contenue, même chez les conventionnels. Le président parvient enfin à rétablir le silence.
VALAZé. – Reconnaissez-vous,
Christian Louboutin Chaussures, Louis, cet état de pensions des gardes du corps et cent-suisses pour l’année 1792 ?
LOUIS XVI. – Je ne le reconnais pas.
VALAZé. – Plusieurs pièces relatives à la conspiration royaliste du camp de Jalès, dont les originaux sont déposés au secrétariat du département de l’Ardèche ?
LOUIS XVI,
Sac Hermes. – Je n’en ai aucune connaissance.
VALAZé. – Reconnaissez-vous cette lettre de Bouillé, datée de Mayence, portant compte de 993.000 livres re?ues de Louis Capet ?
LOUIS XVI,
Chaussures Christian Louboutin. – Non,
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VALAZé. – Cette ordonnance de payement de 161.800 livres, signée Louis, et au dos signée de Bonnière,
Christian Louboutin Pas Cher, avec une lettre du même, les reconnaissez-vous ?
LOUIS XVI. – Non.
VALAZé. – Deux pièces relatives à un don fait à la femme Polignac et aux sieurs de La Vauguyon et de Choiseul, les reconnaissez-vous ?
LOUIS XVI. – Pas plus que les autres.
VALAZé. – Et ce billet signé de vos deux frères, cité dans l’acte énonciatif, le reconnaissez-vous ?
LOUIS XVI. – Pas davantage.
VALAZé. – Ces pièces concernent l’ambassade de Choiseul à Constantinople, les reconnaissez-vous ?
LOUIS XVI. – Non.
VALAZé. – Cette lettre de vous à l’évêque de Clermont, avec réponse dudit,
Chaussures Louboutin, 16 avril 1791 ?
LOUIS XVI. – Je ne la reconnais pas.
VALAZé. – Elle est écrite de votre main, signée de votre main ?
LOUIS XVI. – Je ne la reconnais pas.
VALAZé. – Reconnaissez-vous cet état de sommes payées à Gilles, par votre ordre ?
LOUIS XVI. – Non.
LE PRéSIDENT. – La communication des pièces est achevée ; Louis, retirez-vous dans la salle des conférences, l’Assemblée va délibérer.
LOUIS XVI. – J’ai demandé un conseil.
LE PRéSIDENT. – L’Assemblée va délibérer à ce sujet,
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Louis XVI se lève, revêt sa redingote, prend son chapeau et sort de la salle de même qu’il y était entré,
Louis Vuitton Pas Cher, en donnant le bras aux généraux Santerre et Witenkoff, suivi du maire de Paris, de Jean Lebrenn et de l’autre officier municipal.
Après le départ de l’accusé, le conventionnel Treilhard propose le décret suivant : ? Louis Capet peut choisir un ou plusieurs conseils. ?
ALBITTE. – Cette question est trop importante pour qu’on la décide en ce moment. Si la motion de Treilhard est acceptée, je demande son ajournement.
(L’ajournement est rejeté à une grande majorité.)
GARAT. – La loi sur les jurys porte que l’accusé pourra choisir pour sa défense un ou deux amis ou conseils ; je demande que cette loi soit commune à Louis Capet,
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MARAT. – Il ne s’agit pas ici d’un procès ordinaire ; il ne nous faut pas de chicanes de palais.
(Plusieurs membres demandent la question préalable sur la proposition de Garat. Vive agitation ; le président réclame et obtient le silence.)
PéTION. – Je demande la parole pour une motion d’ordre. De quoi s’agit-il ? De donner au roi un conseil ; personne ne peut le lui refuser,
Louis Vuitton Pas Cher, à moins d’attaquer à la fois tous les principes de l’humanité ; les lois autorisant Louis Capet à prendre deux défenseurs, il a demandé un conseil. Ce conseil peut être composé d’une ou deux personnes : c’est son affaire. Eh bien ! que cette question très-simple : ? Louis XVI pourra-t-il prendre un conseil ? ? soit mise aux voix, elle ne peut rencontrer aucune opposition.
La proposition de Pétion est mise aux voix ; il est décrété à l’unanimité que Louis Capet pourra se choisir un conseil, et la séance est levée à cinq heures.
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